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  • : Le blog de martin.outmanns.over-blog.com
  • : Mon blog raconte essentiellement la pratique de mon sport, le cyclisme ou plutôt le cyclosport.
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18 mai 2014 7 18 /05 /mai /2014 18:50
 
ambiance-running.jpg
Ce dimanche, je suis de retour à Bilzen, là où tout à commencer pour moi dans cette nouvelle discipline qu’est le triathlon.
 
Malgré la tricherie collective de l’année passée (on roulait quasiment en peloton), j’ai décidé de revenir à Bilzen car ne jouant pas un bon classement général, le déroulement de la course (avec ou sans drafting)  m’importe peu. J’ai juste décidé de personnellement m’en tenir au no drafting. Evidemment dans la mesure du possible, car malgré un net allongement du circuit (3 boucles ald 6), on roule toujours sur le chemin de hallage. L’étroitesse de la route ne permet que la présence de deux vélos.
 
 
 
Je retourne me garer au même endroit que l’année passée (à côté du parc à vélo). Cette fois je vis une préparation un peu plus sereine que l’année passée où j’avais oublié pas mal de chose dont ma puce… (voir article http://martin.outmanns.over-blog.com/article-111-bilzen-120367004.html).
 
 
 
 
 
J’ai chopé un rhume quelques jours plus tôt, il va considérablement me gêner, surtout lors de la natation.
 
 
 
Je suis dans les derniers à rentrer dans l’eau (16°C), certes c’est froid, mais c’est supportable. Au bout de 100 m, je commence à avoir du mal à respirer… Ca commence mal. Je ne supporte pas ma combi, j’ai l’impression qu’elle m’étouffe. J’ai de l’eau qui rentre dans mes lunettes et en prime je dérive vers la berge… Bref ce parcours de natation est une vrai galère. Je suis obligé de nager sur le dos à deux reprises pour remettre mes lunettes.
 
C’est une vrai délivrance lorsque je reviens à l’échelle de sortie, d’autant plus que selon la plupart des concurrent il y avait un peu plus d’un km à faire.
 
 
mou-sort-de-l-eau.jpg
 
 
 
Je me mets à trottiner tout en enlevant le haut de ma combi. Je repère mon emplacement sans trop de difficulté. Je peine à nouveau pour retirer le bas de la combi… Ca devient une habitude. Je bois un coup, avale une demi barre énergétique puis, je sors du parc, en route pour 100 km.  
 
 
 
Contrairement à l’année passée, je dispose d’une machine de guerre, fini le look tuné, place à mon orbéa, monté avec une sonic 80 à l’arrière et une bora à l’avant. Je trouve assez vite mon rythme de croisière. Cette année la combinaison des trois facteurs suivant va considérablement réduire le nombre de drafteur :
 
- Le départ a été donné en deux vagues
 
- Le parcours est allongé
 
- Les arbitres sont plus présents et plus sévères
 
 
 
C’est l’un des premiers jours de chaleur de l’année, normalement je m’y acclimate très bien, mais j’ai commis une petite erreur… je suis parti avec trop peu d’eau, je pensais être ravitaillé à chaque tour, mais nous ne le sommes pas lors du premier tour. Ma bouche s’assèche… Et quand enfin je retrouve de l’eau, il n’est pas trop tard, mais grand temps.
 
 
 
Lors du second tour, je perds mon bidon arrière gauche…Mdr, c’est celui avec le matos de réparation, dont un boyau Vitoria open Corsa. Je décide de poursuivre et de le récupérer lors de mon dernier passage.
 
Heureusement, je ne perce pas durant ce tour. La récupération du bidon se passe sans encombre, hormis l’un ou l’autre n’ayant pas vu que je signalais mon arrêt. Je repars en cafouillant un peu pour remettre l’une de mes cales dans la pédalle. C’est fou le temps que l’on perd lors d’un stop and go. Je vais peiner à revenir sur les gars qui m’accompagnait.
 
 
 
Je suis un peu surpris par le retour à l’aire de transition, je pensais encore devoir faire quelques km. Il faut dire que la puce gps de mon Polar déconne encore. La transition en elle-même se passe sans soucis. Par contre la CAP va être une vrai galère. Je gère le faut plat revenant vers l’aire d’arrivée, il faut dire que je me rappelle aussi comme il m’avait fait souffrir l’année passée. Ensuite le parcours est plus facile mais plus chiant puisqu’il s’agit d’un aller retour plat sur une petite route de campagne. A la sortir d’Eigenbilzen, lors du premier des trois tour je sens un petit début de crampes pointer le bout de son nez… Je suis obligé de lever le pied et d’attendre que ces trois tours se passent. Je suis aussi gêné par un besoin naturel… A un tel point que j’ai fortement envisagé un arrêt dans le champ lors de mon dernier tour mais la délivrance ne viendra qu’une fois la ligne franchie…
 
 
 
Ma course en quelques chiffres et avec le graphique du nombre de participants par tranche horaire.
 
 
Nat T1 Vélo T2 CAP Tot
141   58   89 72
00:23'04"   02:45'55"   00:48'18" 03:57'19"
 
etendue-Bilzen.PNG
 
 
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